L’on
observe que les gens ont tendance à ne plus se marier et préfèrent seulement
vivre en couple ordinaire. Ainsi, la vie en couple sans le mariage prend de
l’ampleur de même que les divorces et les séparations sont en nette
progression. Quand le divorce est prononcé ou lorsque la séparation est faite,
c’est pour éventuellement se remettre en couple pour une seconde, voire une
troisième fois. Cela dit, derrière ces tendances ordinaires, les ruptures
d’unions et le devoir de cohabitation des couples en dehors du mariage sont
ainsi très fréquents d’un côté. Alors que de l’autre côté, le mariage domine
encore avec une marge importante.
De plus en
plus d’hommes et de femmes
ne se marient
plus ou se marient tardivement !
Auparavant,
les femmes attendaient quasiment toujours de se marier afin d’habiter chez leur
conjoint. Alors, l’homme et la femme se mariaient pour la vie. Quant au divorce
qui se présente comme stigmatisé et pas facile à obtenir, était seulement
envisagé lorsque vivre à deux arrivait à la limite du supportable. Aujourd’hui,
la cohabitation devance le plus souvent le mariage, et des couples ont cette
tendance à ne plus se marier. L’histoire familiale montre que les couples qui
vivent ensemble sous le même toit sont moins prédisposés à se marier. Par
ailleurs, les séparations et les divorces se multiplient si bien que plus de
femmes et d’hommes esquivent le mariage c’est-à-dire qu’ils ne se marient pas.
Les
premières unions qui se font tardivement, les unions qui prennent souvent la
forme de cohabitations, et les cohabitations qui n’aboutissent pas souvent au
mariage, sont les trois composantes de l’affaiblissement progressif de la
nuptialité (la proportion de mariages dans une population pendant une période
donnée). Les couples ont tendance à ne plus être durables ; elles se
fragilisent. La tranche d’unions rompues dans les premières années a beaucoup
augmenté, aussi bien pour les couples mariés directement que pour ceux qui ont
commencé leur vie commune hors mariage. Mais, les chances de rupture de ces
derniers sont beaucoup plus fortes par rapport aux mariages directs.
Le mariage
n’est pas une garantie absolue
Il
convient de noter que le mariage ne constitue pas non plus une totale garantie
contre la rupture, car sur une durée de 40 ans, un premier mariage a 67 %
de chances de se solder par un divorce. La moitié de tous ces divorces ont lieu
au cours des 7 premières années. Contrairement à ce que l'on pourrait penser,
le taux de divorce des seconds mariages est au-dessus des 10 %.
Malencontreusement, en renonçant l'un à l'autre, les deux conjoints se rendent
compte tardivement de la valeur et de l’importance de chacun. En général, les
couples divorcent trop vite, avant d'avoir pris la peine de consulter un spécialiste
(exemple : un psychologue ou un conseiller conjugal). Plusieurs recherches
l'ont démontré : dans un foyer, les couples heureux vivent plus longtemps
et jouissent d'une bien meilleure santé, tant bien qu’on ne sache pas davantage
pourquoi.
Des constats
qui portent essentiellement
sur les
femmes. Lesquels ?
La
vie de la femme se partitionne en trois différents âges. Le premier débute au
berceau et s’achève à l’âge de maturité sexuelle. Le second englobe la durée
nécessaire pendant laquelle une femme est affiliée au mariage. Le troisième
commence par le temps critique où les passions amoureuses cessent de brûler
comme une braise ardente.
L’âge
moyen auquel les femmes sont mariées est 20 ans, et à 40 ans elles cessent
d’appartenir à l’amour. Pourtant, un jeune garçon de 18 ans donne de fiers
coups de canif dans les parchemins des contrats tandis qu’un homme de 50 ans
est plus dangereux à cet âge qu’à un autre âge. C’est à ce moment de la vie
qu’il profite d’une expérience acquise au prix de grands efforts. Les passions
sous l’épreuve desquelles il tourne étant les derniers, il est impitoyable et
fort comme l’homme entraîne par le courant. Pour ce constat, un célèbre
écrivain a écrit ceci : « Physiquement, un homme est plus longtemps
homme que la femme n’est femme. »
Relativement
au mariage, la différence de durée qui existe entre la vie amoureuse de l’homme
et celle de la femme est de 15 ans. Ce terme équivaut à trois quarts (3/4) du
temps pendant lequel les infidélités d’une femme peuvent faire le malheur d’un
mari.
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